Très pratiqué de nos jours, le prêt hypothécaire permet à un emprunteur d’obtenir des liquidités plus facilement de la part de son prêteur. Cependant, ces avantages ont des contreparties. Premièrement, le particulier devra proposer un ou plusieurs biens immobiliers en garantie de son emprunt. Deuxièmement, il devra passer par un notaire pour rendre cet acte authentique. Or, cela se traduit inévitablement par des dépenses annexes. Pour ne pas être pris au dépourvu, il est bon de savoir calculer ces frais de notaire !
Les différents éléments à inclure dans le calcul des frais de notaire lors d’un prêt hypothécaire
Quand vous contractez un prêt hypothécaire, les frais de notaire que vous avez à régler comportent habituellement deux grands volets :
- Les frais d’acte de crédit : ils se composent des honoraires du professionnel, mais aussi des frais d’inscription hypothécaire.
- Les frais d’acte d’achat : ils correspondent aux sommes dont le notaire s’acquittera pour obtenir certains documents, notamment auprès des administrations.
Pour autant, ces divers frais varient en fonction des spécificités de votre situation. Avant de vous lancer dans telle une procédure, n’hésitez pas à profiter de l’expertise Meilleurtaux pour vos frais de notaire, directement accessible en ligne : un tel simulateur permet aux particuliers d’envisager l’avenir avec plus de certitudes en bénéficiant d’une estimation au plus proche de la réalité.
Quand l’exception devient la règle : l’existence de frais supplémentaires
Il existe une autre raison qui devrait vous inciter à bien préparer votre projet. Certes, le prêt hypothécaire se révèle une bonne solution pour emprunter, mais il conduit aussi souvent à devoir régler des frais de notaire supplémentaires.
Ces frais spéciaux peuvent concerner :
- La TVA ;
- Les frais de mainlevée, au moment de mettre officiellement fin à l’hypothèque ;
- Les honoraires du courtier, quand vous aurez fait appel à un tel professionnel.
Voici donc ce qu’il faut savoir avant d’acheter une maison : quand on envisage un tel type de crédit immobilier, les sommes dues à l’officier public peuvent énormément varier. La plupart du temps, ils seront cependant compris entre 6 % et 12 % de la valeur du bien.
